30 juillet : jour 17 - Pu Dong : le départ... snif !

Après une petite douche comme on n'en fait plus, nous attendons notre taxi sur la terrasse de l'auberge et là surprise ! le chauffeur qui nous attend ne nous est pas inconnu, nous avons déjà eu affaire à ses services il y a quelques jours et pourtant ce ne sont pas les chauffeurs de taxi qui manquent à Shanghai ! En route donc pour Pu Dong, l'aéroport internationnal qui est à une cinquantaine de km de Shanghai.
- petite parenthèse : ce trajet aura été une de ne déceptions de ce voyage : en effet, il est possible de se rendre à l'aéroport en un temps reccord avec le Maglev (pour Magnetic Levitation) qui parcours 35 km en à peine 7 min ! Hélàs, notre avion était à 23h30 et le dernier train partait à 17H30 ce qui faisait quand même une attente conséquente dans l'aéroport. fin de la parenthèse -
Nous quitttons Shanghai alors que la nuit tombe et que tous les gratte-ciel s'illuminent petit à petit. Une dernière vue au loin de la perle d'Asie...

Keyang fait un rituel (chinois ?) pour nous attirer la fortune avec une statue posée sur le comptoir de l'auberge de jeunesse.

L'aéroport de Shanghai est flambant neuf et il faut dire qu'il a un peu plus de gueule que notre cher CDG. Par contre, après une journée à 40°C, la clim à 15°C c'est un peu rude. Ca sent le coup de froid !

Le hall d'enregistrement avec un plafond assez réussi.

Après avoir fait l'enrregistrement où on a vu des valises monumentales (à se demander si elles sont transportables sans charriot même vides) et passé trois zones de contrôle différentes avec formulaires A38 and co, nous accedons enfin à la zone des départs. Et là redéception, il est pas loin de 22h et donc les 3/4 des boutiques sont fermées. Le hall est presque desert à part des strewarts qui cherchent désespérément des passagers marseillais qui sont super à la bourre (sur un autre vol que le notre). Au bout de 5 min, un des marseillais prend le micro et dit en bon fançais ("eh les marseillais du vol "truc", il serait temps de vous bouger le cul sinon pas d'apéro : c'est porte "bidule""). Après ce petit intermède, on s'est posé tranquillement pour attendre le départ. Ayant un peu soif, on a tenté d'acheter une bouteille à un distributeur et je vous laisse voir les photos qui suivent... (quel suspens !)

Le hall de la zone de départ tout en long avec des tapis successifs

La fameuse bouteille d'eau que nous n'avons pas pu consommer. Après un joli saut perilleux, elle est venue se coincer dans la rangée du bas.

Et rien que pour vous, le gros plan !

Vos serviteurs en T-shirt coordonnés à la fois tristes de partir et heureux de retrouver la France !

La suite... vous la connaissez ! ;)